Des thérapies et des outils révolutionnaires

Si vous vous êtes déjà intéressé au bien-être et aux thérapies la première question que vous vous êtes posé est certainement : comment trouver la technique et le.a bon.ne praticien.ne qui me conviennent ?

Parce que oui, il existe PLEIN de thérapies différentes et encore plus de thérapeutes, sans compter les coachs, et ce au sein même de la psychologie sans parler de l’énergétique. Lorsque l’on se lance dans ce chemin on peut vite se sentir perdu.

Faisons rapidement le tour des pratiques thérapeutiques conventionnelles :

  • psychologue : étude scientifique de la structure et du fonctionnement de l’activité mentale et des comportements associés. Les psychologues se spécialisent dans un domaine : travail, enfant, juidiciaire, chercheur.euse…

  • psychanalyste : écoute et analyse de l’inconscient. Une psychanalyse peut durer toute une vie. Freud en est le fondateur.

  • psychiatre : médecin spécialisé dans les troubles et maladies psychiatriques. Iel peut prescrire des médicaments et des thérapies.

  • psychothérapeute : (titre réglementé) aide et accompagne en thérapie la.e consultant.e à surmonter ses problématiques. Si iel n’a pas de diplôme d’état alors le terme utilisé sera « psychopraticien.ne ».

Un.e psychologue n’est pas forcément un.e psychothérapeute. Et un.e psychothérapeute peut être aussi un.e psychanaliste par exemple.
Ces praticien.nes ont dans leur boites à outils différents process pour vous accompagner, dont voici une liste non exhaustive : hypnose (spécialiste > hypnothérapeute), sophrologie (spécialiste > sophrologue), EFT, EMDR, psychogénéalogie…
Quid : TCC ? Sexologue ? Art-thérapie ?
Ce sont ces outils qui vont nous intéresser, j’y reviendrai en détail dans d’autres postes.

Une problématique = un ou plusieurs outils possibles.

Après des années à expérimenter psychiatre, psychothérapeute et psychanaliste, j’ai eu l’impression de tourner en rond. J’étais écouté, je m’acceptais plus mais mon mal-être revenait toujours plus grand, mes traumas continuaient de me hanter.
Tardivement j’ai rencontré une psychothérapeute qui a commencé à m’expliquer mon fonctionnement (mon systeme nerveux dérégulé, mon hypervigilance, mes dissociations, mon syndrome de Stockolm…), j’avais besoin de comprendre ce qui se jouait en moi. Mais même pour elle mes crises émotionnelles étaient trop intenses et elle n’a pas su m’accompagner.

Lae praticien.ne peut refuser de vous prendre en consultation ou arrêter lorsqu’iel le souhaite pour diverses raisons, tout comme vous êtes libres d’arrêter à tout moment. Trouver saon praticienne c’est aussi une question d’entente, il faut que vous vous sentiez bien avec. Il arrive aussi que l’on chemine un temps avec un.e praticien.ne puis que l’on arrête.

Ces fameuses crises je les ai comprise il y a un peu plus d’un an, le mot hypersensibilité a été posé et j’ai enfin pu commencé à m’accepter. J’ai fini par arrêter les suivis thérapeutiques classiques, je ne comprenais pas à quoi ça servait, être entendu c’est bien, avoir des pistes de compréhension de mon cerveau.
J’avais compris beaucoup de choses en conscience mais rien ne changeait vraiment dans mon quotidien. Moi je voulais détruire mon mal-être (et pas bouffer des anti-dépresseurs parce qu’on ne savait plus quoi faire de moi).
Je me suis alors entourée de praticiennes énergétiques. Pendant un an, j’ai fait beaucoup de soins, je me suis formée en radiesthésie – il y a eu de gros changement. Mais mon mal-être profond était toujours présent. J’ai alors compris l’importance de travailler sur ses 3 corps, et de mettre en place des pratiques « intégratives ».
Mon mental avait tout compris mais l’information ne descendait pas dans mon corps, je continuais à vivre des états de panique intense mais en conscience…

Peu importe la thérapie que vous choisirez le plus important est qu’elle soit adapté à votre personne et qu’elle permette à votre corps entier d’intégrer ce qui y est conscientiser.

Une approche globale

Ma préconisation : idéalement trouvez une thérapie qui prend en compte l’inconscient, ce dernier gérant notre corps à 90 % c’est donc le premier concerné lorsque l’on rencontre des blocages. Et si vous adhérer, qu’elle prenne en compte aussi le karmique, et le transgénérationnel.
Souvent c’est un mélange d’un peu de tout qui nous fait avancer.

Désolée de vous l’annoncer, mais il n’y a pas de recette magique, ni de thérapies parfaites. Il est important de faire confiance à son intuition, nous sommes tous.tes différent.e.s avec nos propres bagages, notre sensibilité, nos croyances.

Mes thérapeutes ne seront pas forcément adapté à vous et les pratiques qui ont fonctionnées pour moi ne fonctionneront pas forcément pour vous. Plus le temps passe plus vos besoins évoluent et donc vous serez amené certainement à changer de pratiques. Et c’est ok, le monde extérieur qui nous entoure réflete notre monde intérieur, un monde intérieur changé appelle à changer son extérieur.

Soyez certain.e cependant que dans cette multitude de thérapie et thérapeutes vous trouverez chaussures à votre pied.

Prenez soin de vous.
Gwladys